Le débat est assez décevant et ne prends pas assez en compte l'intérêt national, le seul qui devrait être au cœur des hommes politiques 

Il est à noter que Glucsman a interrompu plus souvent que Bardella, on peut donc en conclure que Glucsman est moins sûr de lui et que les arguments de Bardella portaient d'avantage

Le  problème de l'immigration est d'abord un problème de la francophonie à un double titre: d'accord on doit admettre que les francophones; fini les afghans et autres anglophones et arabophones exclusifs; privilégier les chrétiens orientaux et africains

Ensuite créer la "communauté des États francophones libres" avec une sécurité sociale francophone, un corps de de coopérants francophones, une citoyenneté francophone et une télévision culturelle francophone Tous cela pour que les gens se sentent bien chez eux et y restent 

Ensuite il cesser de soutenir l'Ukraine par pure idéologie (Glucsman) ou opportunisme, du moins on l'espère (Bardella) et mettre l'argent dans les services publics